l'heure a sonné pour moi de remuer délicatement ma main droite avec un air faussement ingénu et navré telle Miss France qui passe sur son char à la Foire aux Boudins pour vous dire " à la revoyure ".
Je pars pour des vacances bien méritées, d'abord de Pampelune jusqu'à Bayonne, puis vers d'autres festoyages de tous les temps.
Je vais me ressourcer, réfléchir un peu moins à des trucs cons, vivre davantage, et réfléchir un peu plus à des trucs moins cons (par exemple : " l'utilisation systématique de l'humour caustique dans les relations Hommes-Femmes, si elle est une bonne manière de se poiler, et surtout de se protéger, ne doit-elle pas trouver un juste milieu ? ; le cas échéant, réfléchir à l'endroit où devrait se trouver la justesse de ce milieu, afin d'éviter, à l'avenir, tous dommages collatéraux ou centraux ... " - NDLR : n'essaie même pas de me répondre " dans ton cul ", petit(e) malotru(e))
Si je décide pas de rester définitivement en Berthagne, ou si je ne suis pas morte d'ici mon retour prévu dans quelques jours, voire semaines, liquéfiée dans une auto sans clim, ou bien figorifiée devant le rayon frais d'un Franprix , en quête d'une vaine vague de froid (ma préférence va aux vitrine frigorofiques de jambons blancs sans couenne), ou encore trucidée par un conducteur d'un site de covoiturage, ou kidnappée par un Prince Charmant qui m'emmènera vers des contrées exotiques (dans la mesure où je reste ouverte à toute proposition géographique n'incluant pas des températures supérieures à celles qui me scotchent actuellement), bref, si je reviens (et soyons clairs, j'ai beau rêver, je pense quand même que mon retour est plus que probable), je vous retrouverai avec plaisir pour de nouvelles aventures.
J'aurais voulu, avant de partir, vous livrer un nouvel épisode de mes tribulations avec Niquetout, vous présenter le 2ème personnage de celles-ci : Bachelor le Gentleman Célibataire, hélas, il a fait trop chaud, j'ai été trop malade, et trop occupée à régler des histoires pas toujours très drôles et parfois même très tristes.
Donc ce sera pour la rentrée - et si ça c'est pas du teasing, j'm'y connais pas -
Je vous souhaite donc de bonnes vacances, ou une bonne attente de vacances, et vous dis à très vite, los amigos !
Bécots !
VACANCES, J'OUBLIE TOUT (sauf vous, promis... ! )
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