7 avril 2010

O désespoir...

Ce week end, j'étais encore à la Capitale.

Je vois bien que tu te dis " pt'ain, l'autre, elle nous emmerde, cette provinciale de daube, à aller tous les 4 matins à la Capitale ; elle écrit presque plus, et en plus, à chaque fois, c'est à propos d Paris, c'est tellement surfait Paris ! Elle se croit maligne, elle croit que ça apporte une valeur ajoutée à son blog moisi, ou quoi ??? ".

Je n'ai pas de réponse rationnelle à cette question.

En revanche, j'ai une explication assez logique à mes multiples AR entre ici et Paname (padam, padam...).

C'est trrrrès basique : j'ai 30 ans cette année.

Et la plupart de mes potes aussi.

Mais la plupart de mes potes, eux, ils habitent là-haut, dans la ville au métro qui pue (pléonasme), des gens qui font souvent la gueule (comment ça, " les Bordelais aussi ! " ???) et des touristes (plus qu'ici).

Et je ne peux pas, ça non, je ne PEUX PAS louper un anniversaire de 30 ans. C'est assez logique, tu vois, j'te l'avais bien dit !

Bref !

Je suis arrivée vendredi en début de soirée.
A peine descendue à Abbesses, j'ai traîné ma valise devant une boutique repérée deux semaines plus tôt. Pour voir si le sac repéré dans ladite boutique deux semaines plus tôt était toujours là.
La soirée d'anniversaire avait commencé un heure auparavant à 1/2 heure de là, bon, j'étais plus à 10 minutes près, hein...
Vu l'heure tardive, la boutique était bien sûr fermée, tu penses ! (ça a beau être Paris, c'est pas non plus la planète magique et rêvée des fans de sacs à main - des filles quoi ). Mais je me disais que si j'y voyais LE fameux sac, je serais sur les starting-blocks le lendemain dès l'aube pour aller l'acheter.

Las ! Il n'y était plus.


Cette triste et sordide histoire n'a fait plaisir qu'à mon compte bancaire...







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