3 juin 2010

Sex and the Bistouri (suite)

A quoi ça sert que Ducros, y se décarcasse à essayer de mettre en forme ses pensées - les plus ou moins obscures - à propos d'un film, quand d'autres le font si bien, et mieux, que lui ???
Ducros/mézigue a donc décidé de pas se fouler, et vous colle ici-bas les articles qui expriment le mieux son avis sur S & the C 2, un mélange de tout ça, quoi (tu as le droit, pour une fois, de constater à voix haute que dis-donc, Ducros, en ce moment, 'se foule pas des masses, niveau écriture de posts, j'ai envie d'te dire " bin oui, mais c'est comme ça, loulou !!!! Si t'es pas content(e), t'as qu'à créer ton propre blog ". Nan mais des fois !!!! ).
En gardant à l'esprit que bon, ça va, on demande pas non plus à Michael Patrick King et au quatuor branchouille de nous livrer une réflexion hyper pointue sur la société, une analyse levi-straussienne du choc des cultures, ou même un raisonnement sociologique aigü sur le mariage.
J'ai quand même pas mal rigolé.
Par contre, bon, j'ai subi quelques longueurs, j'ai eu mal pour une Liza Minelli liftée (on aurait dit sa poupée à Grevin, à qui on aurait greffé un moteur de robot, c'est flippant) et subclaquante tentant une choré de Beyoncé, j'ai eu du mal à trouver que ça " coulait ", tout ça, les transitions pas exceptionnelles, et le cadre trop kitsch parfois.
Et quelques scènes dont tu sais pas si c'est du lard ou du cochon (t'as noté ma blague, là, rapport à Abu Dhabi ? ). Celle de Samantha, légèrement vêtue/à moitié à poil au milieu de la rue, se défendant contre des hommes pratiquants visiblement mécontents, en brandissant des Durex et autres Manix, leur jetant dessus.
En même temps spontanément, tu te marres et, en tant que nana, tu jubiles, en même temps tu te dis à toi-même " et sinon, une deuxième pensée un peu plus réfléchie, peut-être ... ? " parce que dans le fond, c'est tellement plus complexe, tout ça...
Bref, je préfère la série, définitivement, mais bon, apparemment, RIP, la série, et pis des fois aussi, ça fait du bien d'entrer dans une salle de 600 places emplie du brouhaha de discussions de filles excitées qui mangent du pop-corn et de la Fraise Tagada en racontant leurs derniers déboires sentimentaux à leurs copines.
Dont acte.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire